La Réunion et ses 2500 km2. Ile intense, culture métissée, cuisine parfumée et
montagnes gigantesques.
Vous envisagez un voyage ? L’île de la réunion vous ouvre son théâtre où l’actrice principale serait sa splendeur et les comédiens ses merveilles.
La partie exposée aux vents, l’est, est une région chaude et humide. Le versant sous le vent, l’ouest, est d’un climat sec et aride. Si la fraîcheur vous manque, les trois cirques, Cilaos, Mafate et Salazie peuvent vous accueillir. En effet, la température peut descendre au dessous de zéro en hiver, dans ces régions des hauts.
Cilaos, un des trois cirques de l’île, petit coin tranquille de part ses aspects naturels et ses traditions. Un petit berceau touristique qui continue à préserver ses richesses et sa culture : les thermes, la broderie, le vin traditionnel du pays, la lentille et le piton des neiges. La grandeur du cadre et ses paysages majestueux vous inciteront à la détente, à la découverte gastronomique et à la découverte artisanale. La broderie qu’on appelle – les jours de CILAOS –
Mafate. Ce cirque vous offre la fraîcheur et le calme à l’écart de toute vie moderne. Lieu privilégié pour la randonnée. Ce site exceptionnel est inaccessible en voiture. Les deux seuls moyens pour s’y rendre sont l’hélicoptère ou les sentiers de randonnée.
Salazie. Un havre de paix et de verdure. L’eau dévale les flancs des montagnes. Les cascades jaillissent de tous les pitons et remparts. La haute couture végétale habille ces murailles. Bambous, chouchous, cresson, songes et bananiers plante le décor final aux pieds des chutes.
Saint Denis. Chef lieu du département, centre administratif et commercial ; La ville tient son nom d’un bateau, LE SAINT DENIS qui appartenait à la compagnie des indes en 1667. De belles demeures créoles avec leurs varangues et de nombreuses résidences coloniales de la rue de PARIS et de l’avenue de la VICTOIRE nous replongent dans son passé colonial. Sa rue piétonne, lieu de flânerie de prédilection pour sa population, reste le cœur du shopping.
Le port. Porte de l’île ouverte sur le monde par laquelle transite la majeure partie des marchandises. Au carrefour des routes maritimes, le port constitue un point privilégié dans tout l’océan indien.
Rendez – vous à ne pas manquer : Foire internationale des mascareignes. La plus grande foire économique de la REUNION. Véritable carrefour d’échanges avec les pays de la zone océan indien.
Salon de l’horticulture et du cadre de vie : rendez vous incontournable des amoureux des plantes.
Saint Paul et ses plages de sable blanc ou noir. Farniente, bronzage, baignade, lagon ou mer. Son pavillon bleu vous bercera au gré des vagues.
La visite incontournable : Le marché forain de saint Paul.
Considéré comme l’un des plus beaux de l’île, le marché forain de saint Paul est incontournable. En bord de mer, la senteur des épices, enrobée par l’air de la mer, vous transportera à travers les étals où de succulents fruits du pays et une grande variété de légumes est fraîchement colorée.
Des spécialités telles que bouchons, samoussas, sarcives et autres bonbons piments s’unissent au diapason pour retenir votre attention et éveiller vos sens. On se laisse rapidement succomber à cette magie haute en couleur, pleine de saveurs et de senteurs.
Samoussas. |
Saint Louis. Porte d’entrée sur Cilaos. Une odeur de canne broyée qui émane de l’usine sucrière du GOL vous titille les narines à l’entrée de la ville.
A 10 km au nord de saint louis, la plaine des MAKES. A quelques km de ce petit bourg, la fenêtre qui vous ouvre ses volets sur le cirque de cilaos. Sublime panorama qui vous engloutit par sa beauté et sa grandeur.
Saint Gilles. Grâce à ses nombreuses plages, Saint Gilles qui bénéficie d’un micro climat et d’un soleil présent toute l’année, relève de la carte postale rêvée pour les visiteurs. Tous le sports nautiques sont présents. Le week-end, des milliers d’amoureux de la baignade et du bronzage, se partagent les plages de sable blanc.
A quelques kilomètres de la chaleur torride de ces plages, Le bassin malheur, le bassin des aigrettes et le bassin cormoran vous offrent, calme, détente et fraîcheur. Ces sites baignés de force, par son côté demi sauvage et de tendresse par la volupté de son cadre bleu azur, vous envoûterons de bonheur.
Saint Pierre. Capitale du sud. Ville moderne et riche par ses traditions et sa culture. Cette ville très touristique, station balnéaire de premier plan, attire beaucoup de visiteurs par son charme de bord de mer. A saint Pierre, on ne va pas quelque part, on y monte ou on y descend.
Saint Joseph. Connus pour leur accent chantant, les habitants de cette région sont chaleureux et très accueillants.
MANAPANY. p’tit coin charmant, baptisé et chanté par LUC DONAT, célèbre ségatier et violoniste. Cet écrin de verdure à la porte d’entrée de la ville est un des plus beaux joyaux de l’île.
De la route nationale qui surplombe la baie, un élan de quiétude et de bonheur vous balancent à travers les remouds des vagues qui inlassablement, s’écrasent avec grandeur et finesse sur les récifs. Petite merveille qui vous engloutit comme un point à l’infini.
Saint Philippe. Paysage sauvage dans un décor idyllique, où les vagues majestueuse et maîtresse de l’océan, viennent se fracasser contre les falaises déchiquetées, pour le total émerveillement de nos yeux.
Sainte Rose. Site paradisiaque, l’anse des cascades, coin de fraîcheur avec ses chutes d’eaux, son ruisseau, son paysage tumultueux et sa belle côte sauvage où le battant des lames sculpte et cisèle les falaises. Il est fréquent de voir les coulées de lave descendre du volcan de la fournaise, passer sur son territoire et couper à chaque fois la route.
L'Anse des cascades. |
Sainte Anne. L’église de Sainte Anne, classée aujourd’hui monument historique, servit de décor pour le tournage du film – La sirène du Mississipi –
Merveille architecturale inspirée des cathédrales européennes. Un arrêt obligatoire s’impose pour les adeptes de la prière. Ou tout simplement, plaisir des yeux pour l’œuvre et admiration pour le rénovateur : Le père DAUBENBERGER de 1921 à 1946.
Saint Benoît. Une économie basée sur la canne, les fruits, la vanille, les fleurs ainsi que les bichiques, petits alvins que l’on pêche à l’embouchure de la rivière des marsouins.
Le centre ville, traversé par la rivière des marsouins, offre de nombreux sites de pique nique. La diversité du paysage nous laisse l’embarras du choix, car la verdure est omniprésente et luxuriante.
Saint André. Berceau de la communauté tamoule, les ¾ de la population sont de religion malabar. La cérémonie de la marche sur le feu, spectacle stupéfiant, se déroule dans la cour du très pittoresque temple tamoul, où les statues de couleurs vives et les décorations géométriques rappellent fortement l’origine de cette population.
Sainte Suzanne. Ville productrice de vanille. La vanille Bourbon est cueillie, séchée, puis expédiée dans le monde entier. La vanille est une orchidée dont l’arôme sert à rehausser les pâtisseries, les confitures et les carris.
En remontant la rivière de Sainte Suzanne, les amoureux du pique nique et de la baignade se retrouvent à la cascade du Niagara. Au milieu des champs de cannes, tombant d’une hauteur vertigineuse, cette cascade est un lieu villégiature rêvé pour ceux qui veulent méditer dans un spectacle grandiose de douceur et de quiétude.
La Plaine des Palmistes. Très apprécié pour sa douceur et sa fraîcheur en été, attire une population touristique saisonnière très importante. Des massifs d’azalées et de fougères longent la route qui mène au village. La route forestière qui mène à la forêt de Bébour est bordée de champs de goyaviers. Des champs d’arums tapissent et fleurissent à l’ombre de la forêt de Cryptomerias. Des fougères arborescentes déploient leurs ombrelles et semblent vouloir assurer la pérennité de ce lieu séculaire.
La Plaine des Cafres. Se situe à une trentaine de km de la plaine des palmistes. Cette région est surtout connue pour ses fromages, son lait, et ses légumes.
Sur la route du volcan qui conduit au volcan. La plaine des sables, un paysage lunaire unique qui envoûte tous les visiteurs tellement l’impression est profonde.
Le Pas de Bellecombe. Une vue grandiose sur l’enclos et le Piton de la Fournaise. La grande majesté capricieuse est à votre portée.
Les laves cordées, plissées en peau d’éléphant et les laves scoriacées, de couleur plus noire sont associées et on les trouve côte à côte. En pente douce, les laves serpentent à travers le paysage et fréquemment, coupent la route, traversent les habitations, et se déversent dans la mer. Augmentant la superficie de l’île.
Plaine des sables. |
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